Naturellement fortement exposés au méthylmercure, les prédateurs supérieurs de haut niveau trophique ont dû évoluer pour contrecarrer les effets de ce puissant neurotoxique. Ainsi, les oiseaux marins sont capables de détoxifier le méthylmercure grâce au sélénium.
C’est ce qu’ont étudié les chercheurs du LIENSs et du CEBC avec des laboratoires de Nantes et Grenoble.
Pétrel géant subantarctique (Macronectes halli) des Îles Crozet. © Photo P. Bustamante.
Contacts :
Paco Bustamante – Littoral, Environnement et Sociétés (LIENSs – CNRS / La Rochelle Université)
Alain Manceau – Institut des Sciences de la Terre (ISTerre – CNRS / Université Grenoble Alpes)
Armelle Combaud – Communication – Littoral, Environnement et Sociétés (LIENSs – CNRS / Université de La Rochelle)